WebLettres : Dossiers et synthèses

Il s’agissait de trouver des textes poétiques évoquant le regard amoureux.

 ► APOLLINAIRE G., « Vous dont je ne connais pas le nom ».
 ► APOLLINAIRE G., « Les Colchiques ».
 ► ARAGON L., « Les Yeux d’Elsa ».
 ► ARVERS F., « L’Amour caché ».
 ► BAUDELAIRE C., « A une passante ».
 ► BAUDELAIRE C., « Les fenêtres », dans Petits poÚmes en prose.
 ► BRASSENS G., « Je me suis fait tout petit ».
 ► BRETON A., « L’amour fou ».
 ► CADOU R-G., « HélÚne ou le rÚgne végétal » (sections I et III particuliÚrement).
 ► DURAND E., Méditations de E.D. Sonnet XIX.
 ► DURANT DE LA BERGERIE G., Les Oeuvres poétiques du sieur de La Bergerie, Sonnet XVIII (« Beaux yeux dont la douceur si doucement m’enivre, /Vous produisez des feux qui me vont dévorant... »).
 ► ELUARD P., « La courbe de tes yeux ». Voir le commentaire comparé du poÚme d’Eluard
et de celui d’Aragon sur le site de MichÚle Tillard.
 ► LABE L., « O beaux yeux bruns... » et sa réponse-reprise par Olivier de MAGNY.
 ► LAUGIER DE PORCHERES H., Recueil de divers poésies, « Sur les yeux de Madame de Beaufort »(« Ce ne sont pas des yeux, ce sont plutÃŽt des Dieux... »).
 ► NELLIGAN E., « Amour immaculé ».
 ► POL A., « Les passantes », poÚme chanté par BRASSENS.
 ► RANQUET G., « Sur les yeux de Mademoiselle de Gombelle ».
 ► RONSARD (de) P., « Sonnets pour HélÚne » in Les Amours, I, 9 (« L’autre jour que j’étais sur le haut d’un degré... » ) : une premiÚre rencontre et un regard sidérant.
 ► ROY C., « Dormante ».
 ► SCHELANDRE (de) J., « Les Amours d’Anne ».

Autres pistes

 ► RACINE J., PhÚdre (la tirade de PhÚdre, avouant à Hippolyte son amour.
 ► Les trÚs nombreux blasons pétrarquisants de notre poésie renaissante.
 ► Un mémoire de DEA (voir regard amoureux).