WebLettres : Dossiers et synthèses

Il s’agissait de trouver des textes abordant le thÚme de la femme idéale à travers le roman ou la poésie.
SynthÚse mise en ligne par Catherine Briat.

 ► ALAIN-FOURNIER H., Le Grand Meaulnes (Yvonne de Galais)
 ► APOLLINAIRE G., « PoÚme à Yvonne » dans Oeuvres poétiques.
« Vous dont je ne sais pas le nom, ÃŽ ma voisine » : il présente la femme sous un jour ambivalent, tantÃŽt « Madone dont la bouche est une capucine », tantÃŽt rappelant la fée Mélusine, tantÃŽt « ange » tantÃŽt « Ã  damner ».
 ► BALZAC (de) H., Le Lys de la vallée.
 ► BAUDELAIRE C., « A une Passante ».
 ► BAUDELAIRE C., « A une mendiante rousse ».
 ► BAUDELAIRE C., « Le désir de peindre » dans Le Spleen de Paris.
 ► BAUDELAIRE C., « La chevelure ».
 ► BAUDELAIRE C., « Un hémisphÚre dans une chevelure ».
 ► BOSSUET, Oraisons funÚbres.
 ► BRETON A., « Tournesol ».
 ► BRETON A., « L’Union libre » dans Clair de terre.
 ► CADOU R-G., « HélÚne ou le rÚgne végétal » dans La maison d’HélÚne.
 ► CHALLES, Les Illustres Françaises.
 ► CHATEAUBRIAND R. (de), La Sylphide dans Mémoires d’outre-tombe.
 ► DESNOS R., « J’ai tant rêvé de toi » dans Corps et Biens.
 ► ELUARD P., « Je t’aime ».
 ► FLAUBERT G., L’Education sentimentale (Madame Arnoux).
 ► HOSCHI S., Bokko Chan.
Une jolie barmaid, dont un jeune homme s’éprend. Elle est presque parfaite...
 ► HUGO V., « Guitare », in Les Rayons et les ombres.
 ► HUGO V., « Vieille Chanson du jeune temps », dans Les Contemplations.
 ► LAFAYETTE Madame de, Mademoiselle de Chartres dans La Princesse de ClÚves.
 ► LOUYS P., « La Chevelure ».
 ► MAETERLINCK M., Pelléas et Mélisande (Mélisande au balcon).
 ► MAINGUENEAU D., Féminin fatal
En guise de contre-blason, pour « glisser » de la femme idéale à la femme fatale (Descartes et Cie/ Editions HCI,1999).
 ► MAUPASSANT G. (de), La Chevelure.
 ► NERVAL G. (de), « Une Allée au Luxembourg ».
 ► POL, « Les Passantes ».
Le poÚme a été mis en chanson par Brassens.
 ► RIMBAUD A., « Ophélie ».
 ► RODENBACH, l’épouse morte du héros de Bruges-la-morte.
 ► RONSARD P., « Les Sonnets pour HélÚne ».
 ► SCEVE M., « La Délie ».
 ► SENGHOR, « To a dark Girl ».
 ► VALERY P.
 ► VERLAINE P., « Mon Rêve familier ».
Une femme tellement idéale, mÚre, soeur, amante et toujours consolatrice, soumise, qui ne demande rien et qui donne tout, qui est vraisemblablement morte.
 ► VILLIERS DE L’ILSE-ADAM A., Véra.

Peinture

 ► La femme de la fin du XIXe siÚcle, « symboliste » ou « décadente » telle qu’elle apparaît dans les peintures de Khnopff.

Voir le site de Françoise Chatelain.

Chansons

 ► BENABAR, « Monospace ».
« Elle est tellement pure, un concentré de femme idéale
En la diluant dans l’eau on pourrait faire 10 filles normales ».
 ► CABREL, « Depuis toujours » dans Hors-Saison.
 ► GOLDMAN J-J., « Tout était dit » dans En passant.
 ► HUGO V. / BRASSENS G., « Gastibelza ».
« Le vent qui vient à travers la montagne me rendra fou ».
 ► MIOSSEC C., « Madame ».
 ► NOUGARO C., « Les Pas », dans L’Enfant-phare.