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Notes d'une conférence sur Les Liaisons dangereuses


Par Annie Defrasne | Mis en ligne le 01-03-2009

Les liaisons dangereuses - Formation continue du 02/12/2008 - M. Reynaud
site : kinematoscope.ish-lyon.cnrs.fr

Voici quelques notes prises lors de la conférence organisée pour les professeurs de TL dans l'académie de lyon. L'entrée par les couvertures des différentes éditions était intéressante Veuillez excuser les fautes de frappe. A.Defrasne


introduction à la conférence:
Deux moments intéressants dans la vie d'un roman :
- sa prise en compte dans les programmes scolaires (ds Lagarde et Michard, 7 lignes sur LLD et pas d'extrait !)
- ses adaptions au cinéma (Vadim,Trears, Forman, Josée Dayan...)

Les différentes éditions et les couvertures :
la couverture : l'élément le + visible du paratexte; liée à essor du Livre de Poche né vers 1950 ; les difftes couvertures proposent diffts horizons de lecture.
On peut les classer selon :
- le genre des œuvres convoquées : conçues pour l'édition ou recyclage d'œuvres préexistantes ? il existe des couvertures ad hoc mais peu; les premières illustrations (1792, puis 1796) tiraient le roman vers son côté sensible, sentimental; on les retrouve dans l'édition de poche annotée par Michel Delon ; ces gravures ont été utilisées, coupées de façon éhontée, mutilées...
Autre type de couverture pensée pour LLD : GF1964 : une tête de profil vide avec rouages à l'intérieur - Poche n°354/355 : sur fond noir, des silhouettes... une femme dans un lit, un homme qui s'approche; un peu “gothique”
- La plupart des illustrations de couverture sont des reprises d'œuvres existantes; par ex Le verrou de Fragonard (toujours mutilé); cette couverture requiert compétence culturelle du lecteur (reconnaître un peintre, un personnage ) et suscite hypothèse de lecture
Le personnage le plus souvent représenté : Valmont- présent dans un tiers des couvertures; Merteuil : la grande absente; les femmes demeurent des objets de désir interchangeables; paradigme de la femme qui pt représenter n'importe quelle femme. parfois, un seul personnage féminin, parfois 2; cf GF 1981 : 3 personnages (2 femmes, 1 hô et un petit Cupidon. prise en compte de l'aspect polyphonique du roman pris e compte par la couverture.
- les couvertures peuvent évoquer una atmosphère XVIIIème ou une scène précis; cf livre de poche 1975; reprise d'un tableau de Nicolas René Gelain intitulée “la serviette”, ce tableau fait allusion à une lettre de Merteuil (lettre 63) où elle évoque Cécile de Volanges, les cheveux dénoués; elle écrit : “je l'embrassais” mais trahit le roman car suggère une relation équivoque entre le s 2 femmes (?) alors qu'au XVIII le verbe embrasser ne dit rien d'autre que tenir dans ses bras, double trahison de cette couverture.
les couvertures évoquent parfois des scènes précises : les scènes des lettres 47 (le pupitre),
63, 71( Valmont forçant une porte) et 96 : le roman est réduit à une série de morceaux choisis déjà illustrés en 1796. Certains épisodes ne sont jamais représentés; exception: livre de poche 2002 : en couverture une scène du fim de J. Dayan qui renvoie à une autre scène, celle où Valmont et Merteul se retrouvent; mais 4 scènes ont la faveur des éditeurs.

I )Les couvertures proposent des horizons de lecture :
- 1) LLD cô roman érotique : lieu de la couverture : le lit. illustrations d'époque avec Boucher, Fragonard. gravure de femme abandonnée; Poche 1987 : on voit uniquement un lit qui a bcp servi; Pingouin 2007: un lit + un pied
LLD : équilibre entre le trop érotique cô Thérèse philosophe (qu'on ne peut donner aux élèves) et le pas assez comme “Paul et Virginie”! LLD sont dans le juste assez scandaleux et ont remplacé “Manon Lescaut” ds les manuels
Au sein de la littérature érotique on oppose une tradition licencieuse héritée de l'Arétin (exclue de l'école) et une tradition plus raffinée fondée sur la périphrase et la litote (Crébillon, Laclos... Laclos a supprimé le verbe “coucher” et une lettre de Tourvel qui était très érotique; la tradition licencieuse
ds LLD est limitée aux lettres concernant l'initiation de Cécile de Volanges + 4 ou 5 autres lettres.Laclos aurait censuré le texte pour le tirer vers la périphrase et le sous-entendu; même la lettre 47 serait à exclure de la veine érotique, elle fait référence à un lieu commun.
Ce qui sauve une scène érotique, c'est la situation ; quelqu'un raconte à quelqu'un, on échappe à l'érotisme grossier par la façon dt l'épisode est mis en scène, mis en texte;
Refus du vocabulaire érotique spécifique chez Laclos; ce qui est contraire à la doctrine de Valmont; Laclos écrit ; “une toilette que la saison comportait mais qu'elle n'excusait pas “ = nu
Donc la critique invite à ne pas trop classer cette œuvre ds œuvres érotiques; sur ce point le film est plus “grossier” voir l'emploi du mot “ fermeté” le dialogue du film sacrifie plus à la gauloiserie que le texte de Laclos.
- 2) LLD : roman libertin.
cf la couverture qui représente le monde théâtral, du masque ; on peut la rapprocher de celle de GF qui représente une tête vide avec des rouages, sorte de référence à un jeu d'échecs par ex. LLD : roman d e la tête et non de la fesse. On peut inclure ici la couverture représentant un chat et une ou des souris; ds cette ordre d'idées LLd apparaissent comme le roman du jeu du calcul.
cf champ lexical du jeu, la métaphore du jeu ds LLD + la métaphore militaire qui es tla métaphore majeure du roman; à noter que celle-ci est absente des couvertures.
Laclos était un militaire; a fait éloge de Vauban
Le libertin par sa lucidité est dans la tradition des classiques, des moralistes; l'idéologie libertine vise le contrôle des passions affirme une liberté niée par celle prônée par “Thérèse philosophe” (où on n'est pas libre mais où on obéit à ses désirs)
Merteuil et Valmont renouent avec le libertinage de pensée.
libertinage : au XVII réaction aux guerres de religion; insurrection philosophique contre les préjugés, religieux en particulier; au XVIIème libertin est un synonyme de philosophe, et philosophe était un mot péjoratif;
au XVIII, les 2 termes se différencient; le philosophe se différencie du libertin; le philosophe intervient ds la cité; le libertin se met au dessus des obligations de la vie civile; mais ne pas exagérer la diffce entre les 2 mots.
au XVII les 2 mots étaient déjà proches : cf l'escholier d eFuretière : 1) celui qui fait l'escole buissonière 2 ....
3) le coquet, celui qui séduit
le mot “libertin” dans LLD : Ds l'avertissement et ds la préface, on ne parle ni de libertin ni de libertine mais on a des synonymes alors que ds le roman Valmont est désigné, par Mme de Volanges comme “libertin”(lettre 10) et que Merteuil se présente cô “parfois libertine” (lettre 141) “je suis surprise que par un libertinage d'esprit vous ayez fait ce que à d'autres moments vous avez fait par occasion” Merteuil confond les 2 libertinages distingués par Bayle
Voir comment le mot “liberté” est employé ds LLD. uniquement employé par Valmont et Merteuil; quête particulière de Merteuil : la recherche de la liberté.
Le roman libertin est né et mort avec le XVIII; Les Egarements du cœur... Faublas de Louvais Faublas meurt fou dans un asile
Les 3 thèmes qui définissent le libertinage :
- l'inconstance
- le masque, liée à la peur de se compromettre, peur du public, dc liberté tte relative et tt va être mensonge; toutes les lettres des LLD sont des lettres mensongères;le mensonge : régime général de toutes les lettres
et la lucidité : on se ment moins à soi q'aux autres
- le goût de la parole,le goût de raconter par besoin de la reconnaissance de l'autre
La parole : ce qui fonde le libertin et ce qui le perd. Pr Foucauld, le libertin : celui qui en obéissant aux mouvements de son désir peut et doit en éclairer le mouvement par une représentation lucide. Pr Foucauld avec Sade on quitte l'âge classique et on entre dans l'immense nappe d'ombre de la sexualité. Dans LLD le désir reste transparent.

3) LLD cô roman documentaire :
cf Lagarde et Michard : qui réduit LLD à un document cruel sur la vie des roués à la fin du XVIII; cf les couvertures qui renvoient à la réalité quotidienne du XVIII : robes, éventails, coiffures...
Certes on a affaire à un monde d'oisifs, qui a perdu sa fonction guerrière, où le père a disparu ; Valmont n'a pas de père ; le topos de la corruption du temps est mis en scène par Laclos lui-même “j'ai vu les mœurs de ce siècle et j'ai écrit ces lettres” est-ce que vraiment on a un portrait du siècle de Louis XVI ? le terme “roués” renvoie plutôt à la Régence
Les références précises à des objets ou à des faits de société des années 1780 st très rares; cf les jeux de cartes, le whist, la macédoine; ces jeux disent qu'on est en 1780
LLD ne découvrent pas forcément un monde + corrompu avant qu'après.
Y-a-t-il conflit politique entre aristocratie et bourgeoisie ? pas vraiment cf Jean Eyrard qui parle du dévoiement de la tragédie; on a peu de descriptions, peu d'objets; une exception : le potage de Mme de Tourvel lettre 107
Donc un roman plutôt “abstrait”, sans objets
Seul élément inscrit dans le XVIII : la scène de charité - le village - les paysans- ça ne pourrait pas se passer dans la première moitié du siècle; Laclos ne connaît pas particuluèrement l'aristocratie des années 1780. Le ton de la conversation, le langage; le langage des LLD est figuré plus que reproduit, donne l'illusion d'un langage raffiné. Le milieu ds lequel évoluent les personnages est un milieu figuré pas reproduit; donc se garder des analyses qui tirent le roman vers le réalisme.

4) LLD cô roman épistolaire :
cf GF couverture tableau de Jean Raoult Peintre fin du XVII : une jeune fille lisant une lettre; cf les caractères reprenant le titre avec écriture italique ; LLD cô point culminant du roman épistolaire et cô sa liquidation ?
le sous-genre se dvpe au XVII. cf les lettres de la marquise de M... de Crébillon (173...) les lettres d'une péruvienne - Werther - Clarissa. Après LLD ; pas grand chose : le genre a vécu
Culte de la lettre au XVIII ( Mme de Sévigné publiée au XVIIIème ) + nombreux manuels de l'épistolier : pratique courante proposée au XVIII; modèles de lettres, de réconciliation etc...
LLD : nb limité de personnages : 7 ou 8
mais très grand nombre de relations possibles : 35 ou 40 entre ces 7/8 personnages
roman inconcevable en dehors de sa forme; laclos se soumet à une triple exigence de vraisemblance :
- Il faut que toutes ces lettres aient pu être réunies ds les mains de l'éditeur
- il faut prouver que les lettres ont été écrites et reçues par tel personnage à tel moment
- il faut que ces lettres aient une raison d'être (pourquoi?) cf l'établissement du manuscrit : on voit cô il les a disposées les unes par rapport aux autres.


5) LLD cô roman pour le cinéma cf les couvertures qui reprennent des scènes de film
xieurs versions au cinéma; environ 6 adaptations non françaises; on retrouve parfois des images de ces adaptations en couverture. on trouve 1700 films sur le site Kinemascope; tous ces films ont un rapport avec le XVIII, dont environ 500 qui sont des adaptations d'œuvres du XVIII : Goldoni, Casanova. Marivaux. R. Crusoë. M LescautWerther . Le voyage de Gulliver. LLD : en 5ème position, donc bien placé ! Les adaptations des LLD ont augmenté quand ont cessé celles de Manon Lescaut
Pourquoi cet attrait pour LLD ?
- parfum de scandale
- liens avec les clichés sur le XVIII (vêtements, perruques...
- y-a-t-il une compatibilité secrète entre le cinéma et LLD ? est-ce que les films ont employé les moyens du roman ou autres ?
* l'épistolarité : apparemment, nécessairement détruite par le film. Ds le roman, l'action est toujours rapportée jamais représentée; cf Aristote : “on peut imiter en racontant ou en représentant les personnages agissant en actes”
- Chez Frears actions représentées en actes. Mais des scènes échappent à cela; par ex, on voit Valmont dire la lettre en même temps qu'il l'écrit puis on voit Tourvel lisant la lettre alors que la voix de Valmont continue. autre ex : les scènes en montage alterné; Valmont et Tourvel devisent en se promenant dans un parc puis on voit Merteuil en train de lire la lettre mais on entend la voix de Valmont racontant la promenade. Tantôt on entend la conversation pdt la scène de promenade, tantôt on a la voix de Valmont lisant à haute voix la lettre lue silencieusement par Merteuil.
donc, on a des scènes où Frears exploite l'épistolarité. Mais elles restent rares
dc, il semblerait qu'il y a incompatiblité de nature entre roman par lettres et film.

Mais pas si sûr, car dans le roman épistolaire on n'a pas de commentaire interne; le roman épistolaire est un régime à plusieurs voix qui trouverait son équivalent au cinéma. la focalisation normale du cinéma est la focalisation externe. On voit le personnage agir mais on sait ce qu'il pense par ses mimiques etc... ds le roman par lettres, le fait que les points de vue changent sans arrêt selon les locuteurs donne une opacité proche de celle des films; on est toujours incertain de ce que pensent les personnages.
Il y a quelque chose dans l'absence d'une voix de narrateur unifiante qui est commune au cinéma et au roman par lettres.


II) la structure du roman : très claire
LLD déjà presque écrit cô un scénario de cinéma
- les 9 premières lettres correspondent à la phase d'exposition; Frears l'utilise dans sa première séquence (après l'habillage de Merteuil) : séquence où l'on voit Merteuil recevoir successivement tous les personnages.

le roman est divisé en 4 actes :
- un ensemble de lettres plutôt brèves, jusqu'au sursaut de Valmont
- les lents progrès de la double séduction
- aboutissement : la double victoire de Valmont
- la brouille, la chute

Le film reprend cette structure, mais traite rapidement les 2 premiers actes; ralentissement sur la fin

III) la théâtralité :
Frears adapte une pièce de théâtre, de Hampton
la dramatisation (passage texte narratif à texte théâtral) est partielle ; on passe du style direct des personnages au style direct au théâtre. La VOIX des personnages est déjà présente dans le roman. la transformation du roman en théâtre a été facilitée par ça.
Le roman épistolaire permet une esthétique dramatique dans le roman.

On peut parler aussi d'une certaine unité de temps (4 mois, d'août à décembre)

Avec LLD, on assiste à l'entrée du personnage du méchant dans le roman ; ne pas oublier aussi l'influence du mélodrame au XVIII qui met en scène un méchant et ses victimes ; lien avec les musiques

Autre élément de théâtralité : le fait que les libertins sont en constante représentation; ils sont toujours en train de jouer. cf Malkovitch et son cabotinage.

On est entre monde du film de cape et d'épée, monde du tout-action (Fanfan la Tulipe) et le monde de la parole (cf Guitry ry nos représentations du XVIII. tout parole/tout esprit),on aurait avec LLD une troisième voie dans le cinéma représentant le XVIII, c'est le monde du mot qui tue. Ce que Frears recherche : le mot mortel ( c'est ce qu'il dit)
par ex : les mots : “je t'aime; je vous aime” ne sont jamais prononcés dans le roman mais beaucoup dans le film.
ds le roman, on reste dans l'incertitude quant aux véritables sentiments des personnages; on a des possibilités de lecture multiples mais pas d'ambiguité.
Au cinéma les moyens pour accéder à l'intériorité sont plus grossiers. Gros plan = le personnage pense ! alors que le roman met à distance leur intériorité, le cinéma va à contre-sens; Frears s'ingénie à repésenter l'intériorité (dc va contre la "nature" du cinéma )


Lecture de trois extraits de film : "Ce n'est pas ma faute"

- Charles Brabant; pour la TV, 1980. bon spécialiste du XVIII - a fait adaptation des Nuits de Paris de Restif de la Bretonne
*Merteuil donne la lettre à Valmont; il en lit le début; la fin est lue par Tourvel; or dans le roman, on n'a pas la réaction directe d eTourvel;le film représente ce qui n'est pas dans le roman

- Roger Vadim; 1959 - film avec B. Vian J. Moreau et Gérard Philipe
“tu permets que je télégraphie pour toi” apparemmt on est loin du roman;abandon de la lettre; transposition au télégraphe, moyen moderne de communication ; “ce n'est pas ma faute “remplacé par le “stop”, ponctation cruelle. C'est Merteuil qui agit ; faute : le commentaire superflu de Valmont qui dit
“Tu as l'air un peu trop contente de toi”; cô ds le roman on ne voit pas la réaction de Tourvel; on voit juste quequ'un attendre la réaction depuis son fauteuil (Question : le film est-il postérieur au sketch Montand/Signoret ? aspect comique et cruel)

- Frears ;
Valmont récite un rôle ; c'est lourdement souligné; il ne regarde pas Tourvel ; Tout l'accent est mis sur le fait que les mots qu'il prononce ne sont pas les siens ; voir son attitude après ( sort de la pièce, s'appuie sur la porte) à ce moment, on sait que ça lui arrache le cœur; à d'autres moments on le voit manifester son amour à Merteuil. Mais dans cette scène le spectateur sait; pas d'incertitude, spectateur manipulé par Frears ; on a ici 2 victimes de Merteuil

+ problème de traduction pour ce passage : “It's beyong my control' avec des élèves anglicistes, sur quelques scènes emblématiques, on peut les amener à réfléchir sur ce que le choix de traduction nous dit de l'interprétation de l'œuvre.


+ / programme : la lecture par Frears de LLD ; poser le problème de cette appropration, à propos d'un processus de création particulier d'une œuvre créée à partir d'une autre œuvre.











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